Violences policières
J’ai été victime de « Violences volontaires ayant entrainé une incapacité de la part de personnes dépositaires de l’autorité publique ».
Il s’agit précisément de « violences volontaires commises par deux personnes dépositaires de l’autorité publique dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de leurs fonctions, en réunion, sur une personne vulnérable et ayant entraîné une ITT inférieure à 8 jours » ——> ce qui est punissable de : « jusqu’à 7 ans d’emprisonnement et 100.000 € d’amende ».
Voici mon témoignage :
Au mois d’avril 2019, j’ai été victime de violences policières. Il s’agit clairement d’une agression physique, mais par des gendarmes et non des policiers. Et, pour vous montrer, encore une fois, comme le diable est vicieux, ce sont ces gendarmes en nom propre (L.PI. et C.DA.) qui ont porté plainte contre moi : 2 plaintes qui n’ont pas lieu d’être, m’ayant fait risquer, selon les dits délits indiqués, jusqu’à 3 ans de prison. La gendarmerie de G-M (commune de Gironde – nom du gendarme à l’appui : F.D. ) a de plus inscrit noir sur blanc que j’étais « sans profession », ce qui n’est pas le cas.
J’ai été convoqué au tribunal correctionnel de Bordeaux en date du 15 janvier à 13 H (suite à la grève des avocats, il y eu un report d’audience au 16 septembre 2020 à 13h30).


N’est-ce pas curieux ? Tout le monde trouve t-il cela normal ? Nul ne souhaite se faire entendre quant à ce qui se passe réellement sur cette Terre ?
Je suis magnétiseur-guérisseur, je le rappelle : j’aide et soigne qui en a besoin. Je ne suis pas un délinquant ou criminel. Ceux qui me connaissent le savent. Et j’ai un casier vierge.
Violences policières : pourquoi ?
Pour rappel, la maire de G-M (M.H.DES.) me connait puisque :
j’eu fait retirer des « étoiles inversées », symbole du diable très largement répandu dans la société, volontairement intégrées dans le visuel décoratif de la devanture de la maison de l’enfance, mise en place par la mairie de la commune de G-M, et retirées suite à ma demande réalisée auprès du maire adjoint, qui a, semble-t-il, vite compris celle-ci… Cela n’aurait en effet pas été bon pour l’image du maire et de ses subordonnés qu’il commence à se dire partout qu’ils entretiennent « le mal »… .
Je tiens à préciser que, suite à cette agression physique que j’ai subie, ma compagne et moi avons, de plus, été expulsés de notre domicile par la mairie de G-M fin mai 2019 (lettre d’expulsion de la part de Mme le maire à l’appui), alors même que ma compagne est autiste et souffre de sérieux problèmes de santé (devant prendre de l’oxygène pendant une heure chaque matin).
Suite à cela, après avoir tenu « dehors » comme nous pouvions, elle s’est retrouvée à l’hôpital car nous avons été infecté par le choléra (résultats d’analyses à l’appui), son état de santé s’en retrouvant très sérieusement aggravé.
Pour ceux qui me connaissent physiquement mais aussi ceux qui me suivent dans mes écrits et actualités, et ont foi en moi, vous comprendrez vite les choses…
Maintenant, je vais clairement parler ici des faits concernant ces actes de violences policières puisqu’il me semble bien que cela soit fort d’actualité… Prenons donc le temps d’en parler.
Violences policières : voici mon histoire à ce sujet
Je vous fais part à tous de l’agression que j’ai subie. Cela mérite un dépôt de plainte de ma part contre ces gendarmes mais aussi contre le gendarme m’ayant inscrit sans profession, ainsi que la mairie de Gu-M (une plainte collective déposée au tribunal administratif contre l’état pour actes de violences serait aussi à prévoir, me semble-t-il, puisque c’est bien le gouvernement qui donne l’ordre et couvre ces fonctionnaires aux actes barbares…) :
Je soussigné VIRIOT Florian, demeurant à l’adresse ………………, exerçant les professions de Magnétiseur Guérisseur et Rédacteur Web (SIRET N° 524 424 843 000 67), devrait avoir l’honneur de porter plainte pour actes de violences policières volontaires, abus de faiblesse et abus de pouvoir.
En date du 16-04-2019 au soir, en présence de ma compagne, j’écoutais de la musique à mon domicile. A un moment, ma compagne me dit « Ça a tapé. C’est la mamie d’en bas qui a du appeler les gendarmes ». Par la suite, je décide de sortir de l’appartement (1er étage), descends l’escalier extérieur menant au rez de chaussée et vais frapper à la porte de ma voisine du bas, dans l’objectif de lui demander si elle avait effectivement appelé les gendarmes et pour savoir si le volume de la musique la dérangeait.
Personne n’ouvre. Je suis face à la porte d’entrée. Là, je sens que l’on m’attrape brusquement de force, me faisant alors heurter le visage violemment sur la porte d’entrée de la voisine, ce qui l’écorcha sur le côté gauche (photo de mon visage prise lors de me garde à vue à l’appui) et étala du sang sur sa porte. Puis on me met violemment à terre, mes genoux se trouvant également ensanglantés. Beaucoup de sang a coulé partout sur mon t-shirt blanc ainsi que dans l’allée goudronnée où je suis maintenu à terre allongé à plat ventre, menotté aux poignets et aux chevilles par des gendarmes. C’est violent, autant physiquement que psychologiquement, et très douloureux. Ils sont au moins deux à m’avoir violenté. Je crie alors à plusieurs reprises « Volga, les laisse pas faire. C’est de la maltraitance ». J’essaie en vain de me débattre car menotté. En relevant la tête, au sol, je vois que Volga peut observer la scène depuis l’étage, sur le pas de la porte. Je cris également « Julien, Julien ! » afin qu’un voisin (mon coach sportif) m’entende et sorte de chez lui pour être témoin de la violence que l’on m’inflige. Il n’est pas sorti. Après énormément de temps passé à terre, ils « m’embarquent » tel du « bétail » menotté et m’emmènent au centre hospitalier de la Teste de Buch puis en garde vue…
Je précise bien que c’est alors que j’étais de dos, face à la porte de la voisine, pour lui demander si elle avait appelé les gendarmes en raison du volume de la musique que j’écoutais que des gendarmes m’ont violenté et mis au sol avec menottes aux poignets et pieds, tout cela dans une extrême violence. Une telle violence m’a grandement choqué, mais pas seulement, puisqu’ils m’ont blessé au visage en me heurtant celui-ci à la porte d’entrée de la voisine ainsi que lorsqu’ils m’ont mis à terre, mes genoux s’ensanglantant aussi (j’en ai gardé les marques). J’ai également les poignets très marqués du fait que, une fois menotté, j’ai essayé de me débattre comme je pouvais en criant que c’était de la maltraitance. Je tiens aussi à préciser que ces 3 gendarmes ont porté plainte contre moi pour 2 délits (insultes et résistance violente).
Pour plus d’informations, j’exerce une activité professionnelle (à mon compte depuis 2010) dans le domaine de la rédaction web et du référencement de sites internet, ainsi que magnétiseur / guérisseur (SIRET N° 524 424 843 000 67) , et j’ai porté plainte pour violence physique (certificat ITT de 3 jours délivré par le médecin), abus de faiblesse et abus de pouvoir de la part des forces de l’ordre.
Je me fais « éclater la tête contre une porte » (et j’en passe…) et il résulte de tout cela une convocation au tribunal correctionnel en date du 15 janvier 2020 à 13 H, à la suite d’une plainte en nom propre de la part de ces 3 gendarmes m’accusant de 2 délits.
Le monde ne tourne pas dans le bon sens…
Je tiens à bien préciser que des insultes ont été rajoutées. J’affirme en effet ne jamais avoir dit « bâtard », ni « va te faire enculer » (cela ne fait pas du tout partie de mon vocabulaire ! ) par contre, j’ai bien dit « grosse merde » du fait qu’ils m’aient violenté et attaché…
J’ai d’ailleurs pu écouter un enregistrement sonore réalisé par ma petite amie (enregistrement conservé) pour bien revérifier les faits. Et je peux affirmer que les mots que j’ai pu dire sont suite au fait qu’ils me violentent ainsi, me mettent en sang et me menottent tel un criminel. Je suis magnétiseur-Guérisseur et il n’est pas dans mes habitudes d’insulter les gens, mais plutôt de les soigner… Aussi, concernant le fait que j’ai pu manifester une résistance violente, cela ne tient pas la route puisque c’est lorsque j’étais menotté aux poignets et chevilles, le visage ensanglanté à terre, que j’essayais de bouger, chose impossible. Dans ce cas, il me semble donc qu’il ne s’agisse pas de résistance. Leur accusation est donc fausse.
Je me fais agresser et je ne dois rien dire ?
Je rajoute ce que je leur ai dit lorsque j’étais menotté, à l’hôpital de la Teste de Buch, assis sur une chaise : j’ai regardé le « barbu » et lui ai demandé s’il avait des enfants. Ensuite, je lui ai dis que ça va, j’avais rien contre lui. Mais concernant les deux autres non, et j’ai regardé le chef de l’équipe (un brun m’ayant confirmé que c’était lui le chef), et je lui ai alors dit « Vous, je retiens vos visages. Me ratez pas car je vous raterai pas« , cela dans le sens où je leur ferai face juridiquement (à lui et à l’homme corpulent qui fut particulièrement violent), ce que j’ai fais. Ils ont bien sûr pris bien soin de noter cette phrase dans leur plainte pour me faire passer pour menaçant…
Ce que je dénonce, c’est qu’ils ont tout déformé dans mes propos mais aussi quant aux faits, et n’ont pas hésité à en rajouter. C’est sûr, à 3 gendarmes, la pilule est censée passer sans difficulté aux yeux de la justice.
Je souhaite aussi rajouter que ma voisine de palier est semble t-il allée dire dans sa déposition que j’avais étalé du sang en faisant des signes sur la porte de la voisine du bas, le gendarme ayant reçu ma compagne pour déposition (et dont je connais le nom) se permettant de lui dire que j’étais un « petit démon » (ma compagne peut d’ailleurs témoigner de tout), ce qui est plus qu’insultant étant donné que je suis magnétiseur-guérisseur et homme de foi. J’affirme que ce sont les gendarmes qui m’ont mis en sang en faisant heurter et frotter mon visage sur la porte. Je n’avais aucunement du sang sur les mains lorsque j’ai frappé à la porte de la voisine, ni après, et n’ai à aucun moment étalé de sang sciemment dessus. Je répète que ce sont bien les gendarmes qui sont responsables de cela.
Ne s’agit-il pas de violences policières ?!
Par la même occasion, je rajoute que la voisine de pallier (dont je peux citer le nom) a tendance à ne pas bien agir avec nous (ma compagne et moi) et qu’elle reçoit un homme marié chez elle depuis 8 ans… Pour moi, elle n’est pas recevable dans ses dires car non honnête. Elle se sert d’ailleurs de son pallier de porte comme terrasse alors qu’il s’agit d’une allée publique et garde généralement sa porte ouverte. Aussi, elle bloque le passage aux escaliers avec une barrière afin de laisser son petit chien dehors sur ce passage publique, qui d’ailleurs rejette ses excréments de façon régulière devant notre pallier de porte. Il s’agit là de non respect envers autrui, envers nous, ses voisins, me semble t-il…
Enfin, je rajoute que lors de ce soir du 16-04-2019, ma compagne, qui souffre de problèmes de santé sérieux (sous oxygène chaque matin durant une heure), a été physiquement malmenée par l’un des gendarmes (celui étant corpulent) : il l’a poussée violemment et faites tomber au sol. Lorsque j’étais en bas, à terre, ensanglanté et attaché, je lui avais crié d’enregistrer et de tout noter pour garder des traces des faits. Donc, nous avons des preuves quant à ce que je dis là…
Tout ce que je peux dire concernant la dame du bas, c’est que je m’excuse pour le volume de la musique. J’avais besoin de décompresser et n’ai pas fait attention ce soir là à ce point. Je suis un être humain, avec ses qualités et défauts, comme tout un chacun. Il est très rare que je mette de la musique d’ailleurs. Je respecte mon voisinage et sais me tenir.
On souhaite me faire passer pour délinquant, criminel alors que je suis un travailleur et un homme actif, d’ailleurs très sportif, faisant 10 km de footing chaque matin, 5 à 6 fois par semaine. J’ai des défauts toutefois, je vous l’accorde, comme tout être humain. Je n’en connais aucun qui soit parfait.
Autre point très important : sur la convocation au tribunal, ils ont marqué que j’étais « sans profession », ce qui est faux ! Je leur ai pourtant bien signalé, alors que j’étais placé en cellule de garde à vue, lors de mon interrogatoire à la gendarmerie – dans un bureau doté d’ailleurs une grande affiche d’un film incitant au « mal » du nom de « Suicide Squad » – que je travaillais à mon compte comme magnétiseur et rédacteur web (référencement sites internet), mais ils n’ont pas voulu corriger et m’ont dit de signer. Je ne trouve pas cela convenable du tout !
Je ne comprends d’ailleurs pas que des « forces de l’ordre », les gendarmes de Gu-Me, puissent clairement faire la promotion du « mal » en infligeant à tous, dans ce bureau, la vue d’un poster de film axé sur le recrutement par le gouvernement de « crapules de la pire espèce » lancés dans une mission suicide… Ils aiment cela donc ?!
Je cite (source : Wikipedia / film : Suicide Squad) : « Face à une menace aussi énigmatique qu’invincible, l’agent secret Amanda Waller réunit une armada de crapules de la pire espèce. Armés jusqu’aux dents par le gouvernement, ces super-méchants s’embarquent alors pour une mission-suicide. »
Un dernier point très important. J’ai posé par la suite, sans laisser le temps passer, quelques questions à ma compagne en l’invitant à se remémorer les faits. Voici ce qu’elle a dit et qu’elle peut d’ailleurs confirmer :
« De 23h00 et quelques (je n’ai pas l’heure précise) à plus d’une heure du matin, les gendarmes t’ont laissé à terre, en sang, menotté aux poignets et chevilles. C’est là que tu essayais de te débattre et que tu t’es mis à lancer quelques insultes comme par exemple « grosse merde » et que « c’est de la maltraitance », en me disant aussi d’enregistrer et de noter ce qui se passait afin de garder des traces. Et je ne t’ai en effet pas entendu dire « bâtard » ni « va te faire enculer ». Concernant les traces de sang laissées sur la porte de la voisine, c’est lorsqu’ils s’en sont pris à toi que tu as saigné. Tu es en tout cas resté longtemps à terre menotté, ce qui t’as effectivement très énervé. C’est vers une heure du matin passé que d’autres gendarmes sont arrivés (de mémoire, ils étaient 3) pour rejoindre les 2 gendarmes qui te maintenaient à terre. Il y avait un maître chien. Après qu’ils t’aient chargé dans le véhicule, j’ai pu entendre de la part d’un gendarme s’adressant aux autres gendarmes « Qui veut porter plainte ?! », cela sur un ton plutôt enjoué. C’est tout ce dont je me souviens. »
Violences policières : ils m’ont laissé plus de deux heures à terre menotté, attaché par des menottes aux poignets et chevilles, en sang, leurs pieds appuyant fortement sur mon dos ! Réalisez !
Aussi, je peux dire qu’en mettant violemment un homme à terre et en le faisant saigner ainsi sur le sol, pensez-vous qu’il soit étonnant qu’il se mette très sérieusement à réagir verbalement ? J’insiste sur le fait que ce sont ensuite eux qui portent plainte pour insultes…
Ils m’agressent et portent plainte car je réagis verbalement ?
Enfin, un homme menotté aux poignets et chevilles, même s’il essaye de se débattre ne peut plus réellement bouger. Alors, pourquoi m’avoir ainsi laissé si longtemps au sol ? Pourquoi avoir fait traîner les choses ? Pourquoi ne pas m’avoir « embarqué » directement ?
Dans ces conditions, il me semble que j’ai eu raison de porter plainte pour actes de violences policières volontaires, abus de faiblesse et abus de pouvoir afin de donner à cette affaire sa suite légale et de faire valoir mes droits.
CETTE PLAINTE N’A EU AUCUNE SUITE : je n’ai jamais eu de réponse, même pour m’indiquer que cela resterait sans suite…